Visite de travail du Premier Ministre Sama Lukonde, au Caire, en Égypte
Le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge, est en visite de travail, au Caire la capitale de l’Égypte. Sur place, le Chef du Gouvernement a eu des échanges avec des consortiums des investisseurs et hommes d’affaires égyptiens membres du groupe Egyptien INCOME.
Ces opérateurs économiques égyptiens sont intéressés à investir en République Démocratique du Congo où s’offrent plusieurs opportunités d’investissement dans plusieurs secteurs socio-économiques, notamment la construction de la nouvelle ville Kitoko à Kinshasa.
Il sied de signaler que ce programme est le résultat des accords bilatéraux signés entre les deux Chefs d’Etat Égypte-RDC, lors de la visite du Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo auprès de son homologue égyptien Abdel Fattah al-Sissi, au Caire, il y a 6 mois.
Il faut aussi noter que ces projets sont très importants pour les deux pays.
La première étape du séjour égyptien du Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde, est la visite du village intelligent situé dans la province de Gizen, où est faite la présentation audiovisuelle du plan directeur de la nouvelle ville Kitoko, où seront construits le plus grand hôpital au standard international, le palais présidentiel ainsi que le noyau industriel pour la transformation locale des produits manufacturés.
Le Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde est à la tête d’une délégation constituée des Ministres d’Etat de l’urbanisme et Habitat, Pius Mwabilu et celui de l’Aménagement du Territoire Guy Loando, du Ministre des Affaires Foncières Aimé Sakombi Molendo ainsi que du Conseiller Special du Chef de l’Etat en charge d’investissements, Jean-Claude Kabongo.
Le consortium d’investisseurs et hommes d’affaires égyptiens ont démontré leurs différentes réalisations et leurs capacités de travailler avec les banques internationales dans la réalisation de ce projet. Ces investisseurs disent aussi être prêts à investir également dans la construction des routes de desserte agricole et à soutenir le développement durable avec les énergies renouvelables. Les nouvelles technologies de l’information et de la communicationqui sont aussi pris en compte dans ces échanges.